République Démocratique du Congo
PROGRAMME DE L’ARMEE DE LUTTE CONTRE LE VIH/SIDA ET LES ISTPROGRAMME DE L’ARMEE DE LUTTE CONTRE LE VIH/SIDA ET LES IST
prévenir. ​soigner. aider.
CORPS DE SANTE MILITAIRE
INTRODUCTION
Les données sur lesquelles le Programme de l’Armée de Lutte contre le VIH/SIDA et des Infections Sexuellement Transmissibles (PALS) s’est basé, ont été récoltées à partir des structures suivantes des FARDC : les garnisons de Mbuyimayi, de Goma, de Bukavu ainsi que de trois zones de santé militaires à savoir Vangu, Kokolo et Kitona. Elles sont un résumé du travail des acteurs de la lutte contre le VIH/SIDA au sein des FARDC pendant l’exercice 2014.
Ce sont des données incomplètes qui ont pour seul bénéfice d’avoir été discutées et vérifiées au niveau des coordinations régionales (provinciales) du PALS et au niveau général c’est-à -dire national du PALS.
Elles ont été rassemblées de façon laborieuse car provenant de canevas différents et sans appui.
Le canevas de rapportage du PNLS a servi de support harmonisé de synthèse. Cet exercice est le tout premier depuis la restructuration du PALS intervenue en 2013. Plusieurs zones opérationnelles sont restées muettes, trois ZS (Bobozo à Kananga, Kamina au Katanga et Irebu à Mbandaka) et plus d’une vingtaine de Garnisons.
SENSIBILISATION
Globalement plus d’hommes que de femmes ont été exposés aux messages sur le VIH et SIDA.
De l’analyse des données à notre disposition, il ressort qu’au cours de l’année 2014, plus de femmes que d’hommes (ont été touchés par les messages relatifs au VIH :
-
Les stratégies utilisées consistant en la PE peut augmenter l’exposition des femmes et dépendants militaires, mais les séances devront être multipliées ; la stratégie basée sur le greffage de la PE aux parades et aux autres rassemblements des militaires par contre expliquent cette différence qu’elle augmente parce que d’une part les hommes (96%) sont plus nombreux que les femmes (4%) sous le drapeau, les dépendants ne sont pas conviés à de tels attroupements.
-
Les Mil sont considérés comme une population passerelle et à risque élevé à cause de la faible connaissance en matière du VIH/SIDA, du goût élevé du risque, de leur mobilité, du multipartenariat sexuel et du faible usage du préservatif.